Venimeux
(adjectif)Définition(s) disponible(s) :
Définition « venimeux » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1932.
Ancienne définition académique pour le terme « venimeux » (parue en 1835).
Ancienne définition du mot « venimeux » par l’Académie Française (édition de 1798).
Définition du mot « venimeux » par l’équipe de la-definition.fr (édition de 2011).
Merci à Seraphine et Cerise pour la numérisation du mot venimeux.
Le synonyme le plus proche de venimeux est : fielleux.
Autres synonymes usités:
N°2 - terme cité par Remy de GOURMONT dans son livre «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».
N°3 - Venimeux, terme cité par Remy de GOURMONT dans son ouvrage «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».
N°4 - intégré par Émile MOSELLY au sein de son œuvre «Terres lorraines».
N°5 - Venimeux, intégré par Auguste BARBIER dans son livre «Satires».
Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « venimeux ».
Le synonyme le plus proche de venimeux est : fielleux.
Autres synonymes usités:
Emplacement dans le dictionnaire :
veneur vengeance venger vengeur veniel véniel veniellement | véniellement venimeux venin venir venitien vent ventail | venté vente venteaux venter ventes venteux ventilation |
Quelques citations et utilisation du mot venimeux dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Venimeux, cité par Remy de GOURMONT au sein de son œuvre «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».N°2 - terme cité par Remy de GOURMONT dans son livre «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».
N°3 - Venimeux, terme cité par Remy de GOURMONT dans son ouvrage «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».
N°4 - intégré par Émile MOSELLY au sein de son œuvre «Terres lorraines».
N°5 - Venimeux, intégré par Auguste BARBIER dans son livre «Satires».