Sophiste
(nom masculin, subst. masculin)Définition(s) disponible(s) :
Signification éditée en 1932 pour le terme « sophiste » par l’Académie Française.
Ancienne définition du mot « sophiste » par l’Académie Française (édition de 1835).
Ancienne signification éditée par l’Académie Française, année 1798.
Ancienne signification développée en 17962 par l’académie Française (ACAD - 17962).
Merci à Nicolas et Noémie pour la numérisation du mot sophiste.
Le synonyme le plus proche de sophiste est : rhéteur.
Autres synonymes usités:
N°2 - cité par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Sophiste, cité par Edgar QUINET au sein de son ouvrage «Allemagne et Italie».
N°4 - intégré par Prosper de BARANTE au sein de son ouvrage «Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois : 1364-1477».
N°5 - Sophiste, repris par Étienne PIVERT de SENANCOUR dans son livre «Obermann : t. 1».
Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « sophiste ».
Le synonyme le plus proche de sophiste est : rhéteur.
Autres synonymes usités:
Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot sophiste dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Sophiste, intégré par Jules MICHELET dans son livre «Le Peuple».N°2 - cité par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Sophiste, cité par Edgar QUINET au sein de son ouvrage «Allemagne et Italie».
N°4 - intégré par Prosper de BARANTE au sein de son ouvrage «Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois : 1364-1477».
N°5 - Sophiste, repris par Étienne PIVERT de SENANCOUR dans son livre «Obermann : t. 1».