Sophisme
(nom masculin, subst. masculin)Définition(s) disponible(s) :
Signification éditée en 1932 pour le terme « sophisme » par l’Académie Française.
Ancienne signification éditée en 1835 pour le terme « sophisme » par l’Académie Française.
Ancienne définition développée dans dictionnaire académique, 1798.
Définition de l’équipe de la-definition.fr (édition de 2009) pour le mot « sophisme ».
Merci à Theirn et Marc pour la numérisation du mot sophisme.
Le synonyme le plus proche de sophisme est : syllogisme.
Autres synonymes usités:
N°2 - cité par Georges SOREL dans son ouvrage «Réflexions sur la violence».
N°3 - Sophisme, repris par Charles NODIER dans son ouvrage «Jean Sbogar».
N°4 - mot intégré par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Sophisme, cité par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « sophisme ».
Le synonyme le plus proche de sophisme est : syllogisme.
Autres synonymes usités:
Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot sophisme dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Sophisme, mot intégré par Anatole FRANCE dans son livre «L'Orme du mail».N°2 - cité par Georges SOREL dans son ouvrage «Réflexions sur la violence».
N°3 - Sophisme, repris par Charles NODIER dans son ouvrage «Jean Sbogar».
N°4 - mot intégré par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Sophisme, cité par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».