Servilement
(adverbe)Définition(s) disponible(s) :
Signification parue en 1932 dans dictionnaire de l’Académie Française.
Ancienne signification éditée en 1835 pour le terme « servilement » par l’Académie Française.
Ancienne définition de l’Académie Française (édition de 1798) pour le mot « servilement ».
Définition développée dans dictionnaire d’Emile Littré (ancienne édition de 1876).
Merci à Cyrille et Hilaire pour la numérisation du mot servilement.
N°2 - terme cité par Anatole FRANCE dans son œuvre «Le Lys rouge».
N°3 - Servilement, terme cité par Pierre-Joseph PROUDHON au sein de son livre «Qu'est-ce que la propriété ?».
N°4 - cité par Georges CUVIER au sein de son œuvre «Leçons d'anatomie comparée».
N°5 - Servilement, cité par Alfred de MUSSET dans son livre «Articles publiés dans la Revue des Deux Mondes (1832-1833) Chroniques de la quinzaine.».
Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot servilement dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Servilement, repris par Remy de GOURMONT au sein de son ouvrage «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».N°2 - terme cité par Anatole FRANCE dans son œuvre «Le Lys rouge».
N°3 - Servilement, terme cité par Pierre-Joseph PROUDHON au sein de son livre «Qu'est-ce que la propriété ?».
N°4 - cité par Georges CUVIER au sein de son œuvre «Leçons d'anatomie comparée».
N°5 - Servilement, cité par Alfred de MUSSET dans son livre «Articles publiés dans la Revue des Deux Mondes (1832-1833) Chroniques de la quinzaine.».