Retranchement
(nom masculin, subst. masculin)Définition(s) disponible(s) :
Signification éditée en 1932 pour le terme « retranchement » par l’Académie Française.
Ancienne définition de « retranchement » de source académique (Académie Française, parution de 1835).
Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.
Signification éditée en 2010 par l’équipe de la-definition.fr.
Merci à Pierre et Armelle pour la numérisation du mot retranchement.
N°2 - terme cité par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Retranchement, intégré par Antoine COURNOT dans son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - repris par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Retranchement, intégré par Antoine COURNOT au sein de son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot retranchement dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Retranchement, mot intégré par Antoine COURNOT dans son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».N°2 - terme cité par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Retranchement, intégré par Antoine COURNOT dans son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - repris par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Retranchement, intégré par Antoine COURNOT au sein de son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».