Prune
(nom féminin, subst. féminin)Définition(s) disponible(s) :
Signification parue en 1932 dans dictionnaire de l’Académie Française.
Ancienne définition du mot « prune » par l’Académie Française (édition de 1835).
Ancienne définition développée dans dictionnaire académique, 1798.
Définition de « prune » issue du « Féraud » (Auteur Jean-François Féraud, édité en 1788).
Merci à Clément et Fabienne pour la numérisation du mot prune.
N°2 - repris par Joseph-François MICHAUD dans son ouvrage «Le Printemps d'un proscrit».
N°3 - Prune, intégré par Rodolphe TOEPFFER au sein de son œuvre «Nouvelles genevoises».
N°4 - terme cité par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE au sein de son ouvrage «Harmonies de la nature : t. 2».
N°5 - Prune, mot intégré par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE au sein de son livre «Études de la nature : t. 2».
Emplacement dans le dictionnaire :
proximale proximite proximité proüesse prude prudemment prudence | prudent pruderie prune pruneau prunelle prunellier prunier | prurigineux prussienne prussier psalmiste psalmodie psalmodier psalmodique |
Quelques citations et utilisation du mot prune dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Prune, terme cité par Remy de GOURMONT au sein de son ouvrage «Esthétique de la langue française : la déformation, la métaphore, le cliché, le vers libre, le vers ».N°2 - repris par Joseph-François MICHAUD dans son ouvrage «Le Printemps d'un proscrit».
N°3 - Prune, intégré par Rodolphe TOEPFFER au sein de son œuvre «Nouvelles genevoises».
N°4 - terme cité par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE au sein de son ouvrage «Harmonies de la nature : t. 2».
N°5 - Prune, mot intégré par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE au sein de son livre «Études de la nature : t. 2».