Fatras
(nom masculin, subst. masculin)Définition(s) disponible(s) :
Signification parue en 1986 dans dictionnaire de l’Académie Française.
Définition de « fatras » de source académique (Académie Française, parution de 1932).
Ancienne signification éditée par l’Académie Française, année 1835.
Ancienne définition académique pour le terme « fatras » (parue en 1798).
Merci à Christophe et Faustine pour la numérisation du mot fatras.
Le synonyme le plus proche de fatras est : anarchie.
Autres synonymes usités:
N°2 - repris par Louis REYBAUD dans son ouvrage «Jérôme Paturot à la recherche d'une position sociale».
N°3 - Fatras, terme cité par Emmanuel SIEYÈS au sein de son œuvre «Qu'est-ce que le Tiers état ?».
N°4 - repris par Victor de JOUY dans son livre «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°5 - Fatras, repris par Victor de JOUY dans son ouvrage «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « fatras ».
Le synonyme le plus proche de fatras est : anarchie.
Autres synonymes usités:
Emplacement dans le dictionnaire :
fatal fatalement fatalité fatidique fatigant fatigue fatigué | fatiguer fatras fatrasser fatuité fatum fauberter faubourg | faucarder fauché fauche faucher faucheur faucheur ou faucheux faucille |
Quelques citations et utilisation du mot fatras dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Fatras, terme cité par Joris-Karl HUYSMANS au sein de son œuvre «À rebours».N°2 - repris par Louis REYBAUD dans son ouvrage «Jérôme Paturot à la recherche d'une position sociale».
N°3 - Fatras, terme cité par Emmanuel SIEYÈS au sein de son œuvre «Qu'est-ce que le Tiers état ?».
N°4 - repris par Victor de JOUY dans son livre «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°5 - Fatras, repris par Victor de JOUY dans son ouvrage «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».