Effraction
(nom féminin, subst. féminin)Définition(s) disponible(s) :
Signification éditée par l’Académie Française, année 1986. Signification éditée en 1932 pour le terme « effraction » par l’Académie Française. Ancienne signification issue du dico de l’Académie Française, parue en 1835. Ancienne définition académique pour le terme « effraction » (parue en 1798).
Merci à Lydie et Benoite pour la numérisation du mot effraction.
N°2 - terme cité par CHAMPFLEURY dans son œuvre «Les Souffrances du professeur Delteil».
N°3 - Effraction, repris par Henri MURGER dans son ouvrage «Scènes de la vie de bohème».
N°4 - repris par Henri MURGER dans son ouvrage «Scènes de la vie de bohème».
N°5 - Effraction, cité par Jean-Jacques AMPÈRE au sein de son livre «Correspondance : t. 2 (1829-1864)».
Emplacement dans le dictionnaire :
| effluve effondré effondrement effondrer effondrilles efforcer efforcer (s') | efforcer (s') effort effraction effraie effranger effrayant effrayé | effrayer effrené effréné effritement effriter effroi effronté |
Quelques citations et utilisation du mot effraction dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Effraction, mot intégré par CHAMPFLEURY au sein de son œuvre «Les Souffrances du professeur Delteil».N°2 - terme cité par CHAMPFLEURY dans son œuvre «Les Souffrances du professeur Delteil».
N°3 - Effraction, repris par Henri MURGER dans son ouvrage «Scènes de la vie de bohème».
N°4 - repris par Henri MURGER dans son ouvrage «Scènes de la vie de bohème».
N°5 - Effraction, cité par Jean-Jacques AMPÈRE au sein de son livre «Correspondance : t. 2 (1829-1864)».