Disconvenance
(nom féminin)Définition(s) disponible(s) :
Signification développée en 1986 par l’académie Française (ACAD - 1986).
Définition académique pour le terme « disconvenance » (parue en 1932).
Ancienne définition de l’Académie Française (édition de 1835) pour le mot « disconvenance ».
Ancienne définition « disconvenance » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1798.
Merci à Bernadette et Théodore pour la numérisation du mot disconvenance.
N°2 - terme cité par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Disconvenance, cité par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - repris par DESTUTT DE TRACY au sein de son œuvre «Élémens d'idéologie. 1. Idéologie proprement dite».
N°5 - Disconvenance, cité par Victor COUSIN au sein de son œuvre «Cours de l'histoire de la philosophie. Histoire de la philosophie morale au XVIIIe siècle : t. 2 : É».
Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot disconvenance dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Disconvenance, terme cité par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».N°2 - terme cité par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°3 - Disconvenance, cité par Antoine COURNOT dans son œuvre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - repris par DESTUTT DE TRACY au sein de son œuvre «Élémens d'idéologie. 1. Idéologie proprement dite».
N°5 - Disconvenance, cité par Victor COUSIN au sein de son œuvre «Cours de l'histoire de la philosophie. Histoire de la philosophie morale au XVIIIe siècle : t. 2 : É».